

Foire aux questions
Questions / Réponses
-
- Gain de temps : Le courtier a une connaissance approfondie du marché de l'assurance, vous recommandant en quelques minutes une offre difficile à dénicher par vous-même.
- Conseils éclairés : Son autonomie lui permet de conseiller sans partialité, garantissant un jugement objectif.
- Accompagnement personnalisé : Il simplifie un domaine complexe, vous guidant dans toutes les étapes de votre contrat, de la sélection à la résiliation.
-
Avec votre Expert Artensia, vous allez d’abord identifier vos besoins réels en matière d’assurance.
Une fois cette étape effectuée, notre expert Artensia aura à cœur de vous proposer rapidement la solution la mieux adaptée à vos attentes, dans le respect du cadre budgétaire que vous aurez défini ensemble.
Chez Artensia, nous vous écoutons et nous cherchons à vous apporter la meilleure réponse, en cohérence avec vos besoins réels.
-
En tant que courtier indépendant, Artensia n'a aucun intérêt à favoriser un assureur spécifique.
Notre objectif est de vous fournir des conseils impartiaux et judicieux.
De ce fait, cela peut vous permettre de bénéficier de tarifs, bien souvent, plus avantageux et ainsi, vous faire faire des économies substantielles sur vos différents contrats d’assurance.
En définitive, vous êtes gagnants sur toute la ligne
-
D’une manière générale, c’est le courtier en assurance qui va s’occuper de cet aspect du changement d’assurance.
Vous n’avez donc rien à faire en termes de démarches, vis-à-vis de votre ancien assureur.
Chez Artensia, nos experts sont parfaitement au courant des procédures à suivre pour résilier selon les termes légaux les contrats que vous avez souscrits et nous nous occupons de toutes ces démarches à votre place.
-
L'assureur élabore les contrats, fixe les tarifs et s'engage à indemniser en cas de problème, offrant exclusivement ses propres produits.
Le courtier, intermédiaire indépendant, guide les assurés à trouver la meilleure offre sur le marché, en comparant diverses propositions de différents assureurs.
Contrairement à l'assureur, le courtier ne prend aucun risque financier et son rôle se limite à l'information, l'explication et l'orientation.
-
Cela peut prendre deux formes :
Le courtier n'est pas payé par les clients, mais par les assureurs qu'il compare. Les assureurs incluent une commission dans leurs tarifs pour chaque nouveau contrat vendu par le courtier, ce qui signifie que les services du courtier sont gratuits pour les clients.
Dans l'autre cas, le courtier facture des frais de dossier directement aux clients pour ses services. Dans ce scénario, la rémunération du courtier provient directement de l'assuré -
Oui, depuis la loi ANI de 2016, toute entreprise, quelle que soit sa taille, est obligée de proposer une complémentaire santé collective à ses salariés. Cette obligation s'applique aussi aux TPE et PME, même avec un seul salarié.
-
Les cotisations patronales sont déductibles des bénéfices imposables et exonérées de charges sociales dans certaines limites. Pour les salariés, la part employeur n'est pas considérée comme un avantage en nature imposable. Les TPE/PME peuvent également bénéficier de tarifs négociés plus avantageux que les contrats individuels.
-
Les mutuelles TPE/PME proposent des solutions plus flexibles, avec des démarches administratives simplifiées et des tarifs adaptés aux petites structures. Les grandes entreprises bénéficient souvent de tarifs plus avantageux grâce au volume, mais les assureurs proposent désormais des offres spécifiques pour TPE/PME qui compensent cet écart.
-
Une mutuelle d'entreprise est une complémentaire santé collective souscrite par l'employeur pour couvrir tout ou partie des frais de santé non remboursés par la Sécurité sociale de ses salariés. Elle intervient en complément du régime obligatoire et peut également couvrir les ayants droit des salariés (conjoint, enfants) selon les contrats.
-
Oui, depuis le 1er janvier 2016, toutes les entreprises du secteur privé, quelle que soit leur taille, doivent proposer une complémentaire santé collective à l'ensemble de leurs salariés et participer à son financement à hauteur de 50% minimum. Cette obligation résulte de la loi de sécurisation de l'emploi (ANI).
-
Les avantages principaux sont: des tarifs négociés plus avantageux que les contrats individuels, des garanties souvent supérieures, des avantages fiscaux et sociaux pour l'entreprise, une couverture des salariés sans questionnaire médical, et un argument fort pour fidéliser les collaborateurs et attirer de nouveaux talents.
-
Les étapes principales sont:
- Définir vos besoins et ceux de vos salariés,
- Consulter les instances représentatives du personnel,
- Comparer plusieurs offres d'assureurs ou de mutuelles,
- Choisir le niveau de garanties et les options,
- Mettre en place la Décision Unilatérale de l'Employeur (DUE) ou l'accord collectif,
- Informer les salariés,
- Procéder aux affiliations et
- Suivre la mise en place effective.
-
Considérez: les besoins spécifiques de vos salariés (âge moyen, situation familiale), votre budget, le rapport qualité/prix des garanties proposées, le réseau de soins et services associés (tiers-payant, applications mobiles), la qualité du service client et de gestion, et la solidité financière de l'organisme. Un courtier spécialisé peut vous aider à comparer les offres.
-
Oui, mais uniquement selon des catégories objectives définies par la loi: cadres/non-cadres, tranches de rémunération, classification professionnelle ou sous-catégories issues de conventions collectives. Ces distinctions doivent être justifiées et non-discriminatoires, et chaque catégorie doit bénéficier d'une couverture minimale conforme à la loi.
-
Le coût varie considérablement selon la taille de l'entreprise, le niveau de garanties, la démographie des salariés, et le secteur d'activité. En moyenne, comptez entre 30€ et 80€ par mois et par salarié pour la part employeur. Pour une PME, le budget annuel représente généralement entre 2% et 4% de la masse salariale. Ces taux peuvent être bien plus élevés selon le niveau de couverture visé.
-
Absolument. De nombreuses entreprises choisissent de prendre en charge un pourcentage plus élevé (60%, 75%, voire 100%) comme avantage social supplémentaire ! Cette participation accrue est fiscalement avantageuse et constitue un argument de recrutement et fidélisation important.
-
Oui, dans certains cas spécifiques prévus par la loi, un salarié peut demander une dispense d'adhésion: bénéficiaires de la CMU-C ou ACS, salariés déjà couverts par une mutuelle obligatoire du conjoint, CDD courts ou temps partiels, salariés bénéficiant déjà d'une mutuelle individuelle jusqu'à l'échéance du contrat. Ces dispenses doivent faire l'objet d'une demande écrite et être prévues dans l'acte fondateur.
-
Une mutuelle d'entreprise obligatoire impose l'adhésion à tous les salariés (sauf cas de dispense légale) et bénéficie d'avantages fiscaux et sociaux. Un contrat collectif facultatif laisse le choix aux salariés d'adhérer ou non, mais ne permet pas les mêmes exonérations fiscales et sociales. La tendance est clairement aux contrats obligatoires depuis la généralisation de 2016.
-
Le contrat mutuelle doit couvrir tous les salariés, quel que soit leur lieu de travail. Il est judicieux de choisir un assureur proposant un réseau de soins national étendu et des services digitalisés (téléconsultation, applications mobiles). Pour les télétravailleurs à l'étranger, des garanties spécifiques internationales peuvent être nécessaires.
-
Oui, de nombreux contrats ont évolué pour intégrer de nouvelles garanties comme la téléconsultation médicale, le soutien psychologique, le renforcement des remboursements en médecine préventive, ou la prise en charge de nouveaux soins comme la vaccination. Les entreprises sont également plus attentives aux dispositifs de prévention et d'accompagnement proposés par les mutuelles.
Je pose une question